En théorie, je n'ai pas fini l'école. Il me reste un oral mercredi prochain et je m'en vais justement passer la journée à l'école pour le préparer. Or, vous conviendrez avec moi qu'un oral, c'est pas mal moins stressant que des examens. Je ne dis pas si les oraux vous rendent malades, mais pour de futurs enseignants, ce n'est rien du tout. Alors, je considère que depuis hier midi, je suis en vacances.
Pour plusieurs, être en vacances, c'est prendre le temps de rien faire. Ou bien, peut-être pas de rien faire, mais de rien prévoir. Vivre le moment présent. Carpe Diem. Il y en a qui partent loin loin loin. Les chanceux qui ont de l'argent évidemment. Puis, il a du monde comme moi que j'appellerais des agents de vacances.
Selon ma philosophie de profiter au maximum de mes vacances, le repos n'a pas tellement sa place. Mon plaisir, au début des vacances, c'est de planifier le plus d'activités possibles. Alors, je sors mon petit calendrier et je note. D'abord, ce qui est coulé dans le béton : les heures de travail et les soupers de Noel. La priorité numéro deux: les entrainements spécifiques au triathlon. Arke ! Plusieurs heures de bain libre en perspective... Il reste plein de trous !!! Vient donc la priorité numéro trois cette année : les entrainements spécifiques au pentathlon (patin, ski de fond et raquette). Je vous JURE qu'il reste encore de la place... pour de la lecture :) J'ai même déjà choisi mon premier roman : Tell No One de Harlen Coben, a thriller. Finalement, il faut bien quelques minutes chaque jour pour me cultiver sur cyberpresse et pour venir écrire sur mon blog. Manger ??? Bahhh pendant que je me cultive. "Y en a pas de problème", comme dirait mon ami Nick, " j'ai du lousse".
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Hier, test de 1500m de natation. 21:36. Ordinaire. Je vais essayer de me convaincre que la saison est encore loin.
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Hier soir, mon homologue George St-Pierre a fait vibrer le centre Bell. Nous, triathlètes, avons regardé le combat passionnément puisqu'emportés par la nervosité et la passion de Tom. En tout cas, soit que c'est lui qui n'est pas un vrai St-Pierre, soit que c'est moi parce que vraisemblablement notre génotype n'a pas du tout le même potentiel athlétique.
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